

SANSHIDÔ, les 3 voies de la sagesse du corps et de l’esprit
Fort de son expérience avec le Sanshidô Training et le HIIT Sanshidô.
L’expérience évolue au sein du Training avec l’arrivée du HIIRT (High Intensity Interval Resistance Training).
Fort de son expérience de 10 années de création de chorégraphie Fitness Combat. L’équipe enseignante a mis au point pour vous une nouvelle expérience Fitness.
Allié les chorégraphies Fitness combat du Sanshidô-Training avec un entrainement fractionné de Haute Intensité ou HIIT (High-Intensity Interval Training). Le but est de vous apporter le meilleur des deux mondes, la régularité et la stabilité du Sanshidô-Training avec le HIIT TABATA et son effet afterburn. Après votre entraînement de Sanshidô continuez à bruler les calories !
source Lexpress ( Par Louise Gilot) : http://www.lexpress.fr/styles/forme/hiit-continuer-a-bruler-des-calories-apres-le-sport-avec-l-afterburn-effect_1752173.html
Le HIIT –High Intensity Interval Training ou entraînement en intervalles à haute intensité- compte de plus en plus d’adeptes, sportifs de haut niveau comme amateurs. Tous vantent ses bienfaits pour se muscler et garder la ligne en brûlant un maximum de calories.
Le principe: des efforts très intenses sur un temps court, les exercices étant entrecoupés d’une faible récupération. « C’est une méthode bien connue en athlétisme avec l’entraînement fractionné, précise le Dr Jean-Michel Serra, médecin des équipes de France de la Fédération française d’athlétisme. Par l’intensité produite et les espaces de récupération limités, elle permet une dépense énergétique accrue par rapport à un travail continu. Des méthodes similaires ont été évaluées pour de jeunes obèses, notamment à l’université d’Aix- Marseille. Il s’est avéré que ce type d’effort bref et intense était mieux perçu que des efforts physiques longs et fastidieux. »
« Le métabolisme de base [s’accélère] dans les 24 heures après l’exercice, le nombre de calories brûlées au repos est donc discrètement supérieur à ce qu’on avait avant la séance », précise de son côté le Dr Anne Basquin Hilliet, médecin généraliste spécialisé en nutrition du Sofitel Diététique de Quiberon.
Ce phénomène, on le doit à l’afterburn effect, qui désigne la combustion de calories supplémentaires après la séance de sport. Il est poussé à son maximum pendant un HIIT. S’enclenche un cercle vertueux: « Plus l’effort est intense, plus l’afterburn effect s’étale dans la durée », explique Mickael Hacherel.
Magique? Non. L’effet est mécanique. Lors d’un entraînement en intervalles à haute intensité, on travaille en anaérobie lactique. Ce mode de production d’énergie fait fonctionner le muscle en « sur-régime ». Il manque alors d’oxygène pour utiliser correctement les glucides. Ces derniers sont par conséquent dégradés et produisent un déchet dans le sang appelé acide lactique, le fameux responsable des crampes et de la sensation familière de brûlure musculaire après avoir trop « forcé ».
Autrement dit, le corps puise son énergie dans cette production importante de déchets (et non dans l’alimentation de la journée) afin de développer une puissance très élevée sur une durée réduite.
« On est en général très essoufflé par les efforts en HIIT car on travaille au delà de nos possibilités respiratoires. On crée alors une dette d’oxygène, une dette d’énergie, que notre corps va devoir compenser, comme une dette financière qu’on devrait rembourser à la fin de l’effort », développe Mickael Hacherel. Cette compensation en oxygène se produit pendant le retour au calme, dans les 30 à 48 heures après la séance. C’est là qu’entre en jeu l’afterburn effect.
Au bout de dix semaines de pratique de HIIT environ, et trois séances maximum hebdomadaires, on peut espérer voir des résultats sur la silhouette: celle-ci devient plus tonique. « Mais cet amincissement ne saurait être lié uniquement à l’activité physique. Une alimentation saine et équilibrée est indispensable », avertit Mickael Hacherel. « Comme dans toute stratégie d’amincissement, on ne peut compter pour accélérer la perte de poids que sur une maîtrise alimentaire raisonnable suivie sur le long terme », corrobore le Dr Anne Basquin Hilliet.
Marine 26 ans, s’entraîne une à deux fois par semaine. Elle a noté l’évolution: « J’ai vu des changements sur l’aspect de ma peau et mon corps s’est musclé assez rapidement. » Même son de cloche chez Caroline, 27 ans, qui a toujours eu du mal à se « motiver pour des activités d’endurance ou de fond ». « Le HIIT c’est rapide et efficace, idéal pour les impatientes comme moi. En un mois, en le pratiquant en complément du basket ball, j’ai ressenti des effets sur ma tonicité. »
Pas de HIIT sans une bonne condition physique. « En cas de problèmes articulaires, cardiaques ou pulmonaires, on ne peut pas pratiquer », prévient le Dr Hélène Gaumerais, médecin du sport aux Thermes marins de Saint-Malo.
« Comme l’activation cardiaque est maximale sur de brèves séquences, il est préférable d’avoir au préalable effectué un examen médical afin d’éviter le risque de blessures », conseille le Dr Jean-Michel Serra.
Outre le bilan médical, un test à l’effort pour évaluer les capacités cardiaques est également indiqué, surtout en cas de reprise du sport: « le HIIT est une méthode contraignante sur le plan cardiaque et tenir entre 20 et 40 secondes d’effort peut être difficile pour des non-initiés », poursuit le Dr Serra.
« La mise en place doit être progressive et adaptée aux qualités de chacun », mais aussi à leur état de santé et leurs capacités, insiste le médecin, ce qui nécessite de choisir un coach averti sur ce genre d’entraînement.
Mickael Hacherel conseille aux débutants de s’entraîner en cardio pendant trois mois pour augmenter le tonus musculaire et « recharger son réservoir d’énergie ». « On ne peut pas travailler en toute puissance si on n’a pas un réservoir d’énergie assez important. »
Marine reconnaît les difficultés de l’exercice pour les novices, sans pour autant les dissuader d’essayer: « Il faut un bon mental et ça peut en décourager certains qui ne s’attendent pas à un tel niveau de difficulté. Mais après, il est possible d’adapter les séances à chaque niveau et de privilégier des exercices moins cardio. Par exemple choisir des grimpeurs plutôt que des burpees. »
Plébiscité dans le milieu du sport (et connu des grands sportifs) le Tabata fait partie des entraînements en fractionné à haute intensité qui montent, en attestent les nombreuses vidéos à ce sujet. La paternité de cette technique revient au professeur Izumi Tabata, de l’Institut National du Fitness et des Sports du Japon. Il a découvert que quatre minutes d’exercices suffisent à observer de réels résultats sur la santé et la condition physique d’athlètes de haut niveau, de sportifs amateurs et même d’adultes sédentaires.
Remise d’une médaille par la Mairie de Maurepas pour le 10 ans du Sanshidô. Merci Monsieur le Maire.
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